De retour de son dernier voyage, voici les propos du pape sur l’avortement:
“C’est plus qu’un problème, c’est un meurtre. Qui pratique l’avortement tue, sans demi-mesure. Prenez n’importe quel livre sur l’embryologie pour les étudiants en médecine. La troisième semaine après la conception, tous les organes sont déjà là, même l’ADN. C’est une vie humaine, cette vie humaine doit être respectée, ce principe est tellement clair!
À ceux qui ne peuvent pas comprendre, je poserais cette question: est-il juste de tuer une vie humaine pour résoudre un problème? Est-il juste d’engager un tueur à gages pour tuer une vie humaine? Scientifiquement c’est une vie humaine. Est-il juste de la supprimer pour résoudre un problème? C’est pourquoi l’Église est si dure sur cette question, car si elle accepte cela, c’est comme si elle acceptait le meurtre au quotidien. Un chef d’État m’a dit que le déclin démographique avait commencé parce qu’à l’époque, la loi sur l’avortement était si forte que six millions d’avortements furent pratiqués, ce qui a entraîné une baisse des naissances dans la société de ce pays.
Que doit faire le pasteur? Être un pasteur, ne pas condamner. Être un pasteur, car celui qui est pasteur l’est aussi pour les excommuniés. Des pasteurs avec le style de Dieu, dans la proximité, la compassion et la tendresse.”