Le même jour où la loi sur l’allongement du délai de l’IVG a été adoptée, on a discuté à l’Assemblée Nationale un texte visant à réduire la souffrance animale…
Et on regarde une vache menée à l’abattoir qui beugle et résiste, un poulet qui tente désespérément de sortir de sa cage exiguë, et on comprend, on compatit, on est quand même pas des monstres…
Un enfant in utero ne peut pas crier, protester, se débattre, alors il n’existe pas. Un fœtus est moins qu’une vache, moins qu’un poulet, moins qu’un poussin broyé. Ses petits gestes, le pied qu’il bouge, le pouce qu’il suçote, ont le tort d’être invisibles et silencieux dans un monde où le vacarme et l’apparence règnent en maîtres…
Source : Limites
Que pouvons-nous y faire ?
Temoigner que nous ne voulons pas de cette culture de mort dans notre société en organisant des Veillées pour la Vie dans nos paroisse : c’est la première étape du renouveau de la culture de vie dans notre société…