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Une grande prière pour la vie qui traverse le monde

Voilà plusieurs années que l’équipe française de coordination des Veillées pour la vie travaille avec des responsables locaux, aux quatre coins du monde, au renouveau de la culture de vie et nous avons là joie, pour notre dixième édition, de voir une première Veillée pour la vie à Tokyo, déclarée sur notre site… C’est le rêve de St Jean-Paul 2 qui se réalise :

” Une grande prière pour la vie, qui parcourt le monde entier, est une urgence. Que, par des initiatives extraordinaires et dans la prière habituelle, une supplication ardente s’élève vers Dieu, Créateur qui aime la vie, de toutes les communautés chrétiennes, de tous les groupes ou mouvements, de toutes les familles, du cœur de tous les croyants ! “

St Jean-Paul II Evangelium Vitae n°100

En cette fête de St Jean-Paul II, n’hésitez pas à lancer des veillées pour la vie aux quatre coins du monde mais aussi en France, dans votre paroisse, en vous aidant au besoin de notre kit d’organisation librement téléchargeable sur notre site : www.veilleespourlavie.life

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Une Toussaint pour la Vie !

Dans le cadre des 10 ans du mouvement des Veillées pour la Vie, pour la fête de la Toussaint, (où nous ne fêtons pas les morts, mais tous les saints), nous vous proposons de redécouvrir certains saints qui se sont sanctifiés en annonçant l’évangile de la Vie !

Des laïcs comme la Pr. Jérome Lejeune, des religieux comme Sainte Marie-Euphrasie et la Vénérable Rosalie, tous témoignent par leurs actions que le Christ est le pain de Vie ! A leur exemple, suivons-les sur le chemins de la sainteté, chemin au service de nos frères…

” chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.”

“Venez à moi, les bénis de mon Père…”
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Que disait Ste Mère Térésa, prix Nobel de la Paix ?

Il y a 41 ans, le 17 octobre 1979, Ste Mère Térésa était nominée pour le prix Nobel de la Paix ! Que disait-elle à la remise de son prix ?
Et je ressens quelque chose que je voudrais partager avec vous.
Le plus grand destructeur de la paix, aujourd’hui, est le crime commis contre l’innocent enfant à naître. Si une mère peut tuer son propre enfant, dans son propre sein, qu’est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entretuer les uns les autres ?

L’Écriture déclare elle-même : « Même si une mère peut oublier son enfant, moi, je ne vous oublierai pas. Je vous ai gardés dans la paume de ma main. » Même si une mère pouvait oublier… Mais aujourd’hui on tue des millions d’enfants à naître. Et nous ne disons rien. On lit dans les journaux le nombre de ceux-ci ou de ceux-là qui sont tués, de tout ce qui est détruit, mais personne ne parle des millions de petits êtres qui ont été conçus avec la même vie que vous et moi, avec la vie de Dieu. Et nous ne disons rien. Nous l’admettons pour nous conformer aux vues des pays qui ont légalisé l’avortement. Ces nations sont les plus pauvres. Elles ont peur des petits, elles ont peur de l’enfant à naître et cet enfant doit mourir ; parce qu’elles ne veulent pas nourrir un enfant de plus, élever un enfant de plus, l’enfant doit mourir.
Et ici, je vous demande, au nom de ces petits… car ce fut un enfant à naître qui reconnut la présence de Jésus lorsque Marie vint rendre visite à Elisabeth, sa cousine. Comme nous pouvons le lire dans l’Evangile, à l’instant où Marie pénétra dans la maison, le petit qui était alors dans le ventre de sa mère tressaillit de joie en reconnaissant le Prince de la Paix.


C’est pourquoi, aujourd’hui, je vous invite à prendre ici cette forte résolution : nous allons sauver tous les petits enfants, tous les enfants à naître, nous allons leur donner une chance de naître. Et que ferons-nous pour cela ? Nous lutterons contre l’avortement par l’adoption. Le Bon Dieu a déjà si merveilleusement béni le travail que nous avons fait, que nous avons pu sauver des milliers d’enfants. Et des milliers d’enfants ont trouvé un foyer où ils sont aimés. Nous avons apporté tant de joie dans les maisons où il n’y avait pas d’enfant !

C’est pourquoi, aujourd’hui, en présence de Sa Majesté et devant vous tous qui venez de pays différents, je vous le demande : prions tous d’avoir le courage de défendre l’enfant à naître et de donner à l’enfant la possibilité d’aimer e
t d’être aimé. Et je pense qu’ainsi —avec la grâce de Dieu — nous pourrons apporter la paix dans le monde. Nous en avons la possibilité. Ici, en Norvège, vous êtes — avec la bénédiction de Dieu — vous êtes assez à l’aise. Mais je suis sûre que dans les familles, dans beaucoup de nos maisons, peut-être que nous n’avons pas faim pour un morceau de pain, mais peut-être qu’il y a quelqu’un dans la famille qui n’est pas désiré, qui n’est pas aimé, qui n’est pas soigné, qui est oublié. Il y a l’amour. L’amour commence à la maison. Un amour, pour être vrai, doit faire mal.”

Ste Mère Teresa, discours de réception du prix Nobel de la Paix 10 décembre 1979 à Oslo.

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Le silence de l’indifférence…

Le même jour où la loi sur l’allongement du délai de l’IVG a été adoptée, on a discuté à l’Assemblée Nationale un texte visant à réduire la souffrance animale…
Et on regarde une vache menée à l’abattoir qui beugle et résiste, un poulet qui tente désespérément de sortir de sa cage exiguë, et on comprend, on compatit, on est quand même pas des monstres…
Un enfant in utero ne peut pas crier, protester, se débattre, alors il n’existe pas. Un fœtus est moins qu’une vache, moins qu’un poulet, moins qu’un poussin broyé. Ses petits gestes, le pied qu’il bouge, le pouce qu’il suçote, ont le tort d’être invisibles et silencieux dans un monde où le vacarme et l’apparence règnent en maîtres…
Source : Limites

Que pouvons-nous y faire ?

Temoigner que nous ne voulons pas de cette culture de mort dans notre société en organisant des Veillées pour la Vie dans nos paroisse : c’est la première étape du renouveau de la culture de vie dans notre société…

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De quoi sommes-nous responsable ?

Mgr Centène, eveque de Vannes, nous écrit pour nous soutenir :

En cette dixième édition des Veillées pour la Vie, nous sommes appelés à prendre conscience de cette réalité, le defense de la vie dont nous sommes responsables de part notre humanité et de par notre baptême.

“En participant et en soutenant ces Veillées pour la Vie, après avoir participé à la journée de mobilisation Marchons Enfants, (…), nous sommes appelés à édifier la civilisation de l’amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ.”

Merci Mgr Centène pour votre soutien !

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Détresses psychosociales ?

Témoignage d’une assistante sociale : “On parle de “détresse Psychosociale ” pour autoriser maintenant une IMG. On veut désormais rallonger de 12 semaines à 14 semaine le délai légal pour une IVG…

Pour ceux et celles qui n’étaient pas allés jusqu’à cliquer sur le lien de mon article sur Boulevard Voltaire, je vous le partage, là, en toute simplicité.

Parce que la situation est grave.

Parce qu’il ne faut pas oublier que c’est rarement l’enfant le problème mais bien la situation dans laquelle se trouve la femme.

Parce qu’aujourd’hui, on ne propose aucune solution ( ça risquerait de coûter plus cher) alors, on se débarrasse du “problème”!

C’est en tant qu’assistante sociale, terminant également une formation de conseillère conjugale et familiale, que je me suis penchée sur ce nouveau sujet polémique : un amendement adopté en pleine nuit, permettant l’IMG (interruption médiale de grossesse) en cas de « détresse psychosociale ». J’ai donc décidé de chercher une définition de « détresse psychosociale » pour comprendre les enjeux de cet amendement qui guidera ma pratique professionnelle.

Eh bien, croyez-moi (ou pas !), il y a autant de définitions que de médecins, et autant de détresses psychosociales que d’êtres humains ! Le Petit Robert et Wikipédia n’ont pas encore mouillé leur chemise pour trouver un sens à ces mots. Alors, qu’on se le dise : comme il n’y a aucune définition objective, il va falloir travailler avec de la subjectivité.

Cette subjectivité qui conduira à proposer une IMG à une femme alors qu’elle est en difficulté et que cela aggravera sa « détresse psychosociale » !

Cette subjectivité qui conduira à proposer à une femme battue une IMG alors qu’elle a besoin de se sentir soutenue et protégée… mais, non, pas assez de budget, allons à la simplicité !

Cette subjectivité qui conduira à proposer une IMG à une jeune étudiante plongée dans une « détresse psychosociale » parce qu’elle n’aura pas de place en crèche !

Cette subjectivité qui conduira à proposer une IMG à une femme SDF en grande « détresse psychosociale » plutôt qu’un toit !

Cette subjectivité qui conduira à proposer une IMG à une femme parce qu’elle risque de perdre son emploi plutôt que de renforcer la protection des femmes et mères dans le monde professionnel !

Cette subjectivité qui conduira à proposer des IMG à des femmes en « détresse psychosociale » plutôt que des solutions, bien plus onéreuses pour notre gouvernement. À croire que la vie a un prix et qu’il ne doit pas dépasser les budgets de notre pays.

En tant que travailleur social sur le terrain qui côtoie tous les jours des personnes en « détresse psychosociale », je rêve de pouvoir apporter des solutions concrètes, financières et matérielles à ces femmes. Car c’est rarement l’enfant, le problème, mais bien la situation familiale, financière et matérielle dont il est question. Or, avec cet amendement-là, nous choisissons de lui enfoncer un peu plus la tête sous l’eau…

Cet amendement est donc tout simplement le reflet de la domination de la société sur la femme et illustre malheureusement trop bien la définition subjective de ce que doit être une femme pour pouvoir être une bonne mère de famille. Mais où sont les féministes pour crier au scandale et défendre le droit des femmes ? Le droit des mères ? Qui aura son ticket gagnant à la loterie de la plus grosse « détresse psychosociale » pour pouvoir avorter d’un enfant de 8 mois et demi en pleine forme ? Cette guerre des mots nous conduira sur le champ de bataille de la guerre des maux.

Et non, je ne veux pas y participer.”

C.M.

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Engageons-nous dans notre société !

Il y a 74 ans, le 10 septembre 1946, Mère Térésa reçut ce qu’elle appela « l’appel dans l’appel » : 

« Soudain, j’entendis avec certitude la voix de Dieu. Le message était clair : je devais sortir du couvent et aider les pauvres en vivant avec eux. C’était un ordre, un devoir, une certitude. Je savais ce que je devais faire mais je ne savais comment ».

Elle ne savait pas comment le faire mais une chose est sûre, c’est que Mère Térésa l’a fait. C’est l’un des plus beaux exemples de charité chrétienne ! Aussi impérieux fut cet appel et aussi simple fut le moyen d’y répondre : jamais Mère Térésa ne laissa tomber la prière. Elle commençait même toujours par ce cœur à cœur avec le Christ avant d’agir : 

« Plus nous recevons dans le silence de la prière, plus nous donnerons dans la vie active. » 

Elle nous rappelle bien qu’il est nécessaire de « priez sans cesse » Luc 21,36

Elle qui a tant fait pour les plus pauvres a aussi beaucoup œuvré pour la protection de toute vie naissante en dénonçant le drame de l’avortement et ses conséquences pour la paix dans le monde. Ainsi, le 17 octobre 1979, Mère Térésa reçoit le prix Nobel de la paix qu’elle accepte « au nom des pauvres ». La petite religieuse ne trahit pas ses propres convictions lors de son discours, en dénonçant l’avortement : 

« De nos jours, nous tuons des millions d’enfants à naître, et nous ne disons rien. Prions tous pour avoir le courage de défendre l’enfant à naître et pour donner à l’enfant la possibilité d’aimer et d’être aimé. »

N’oublions pas le chemin que la sainte nous a tracé et continuons à veiller et prier pour la renaissance d’une culture de vie au sein de notre société. A la veille de l’Avent, créons des veillées dans nos paroisses, aidons nos prêtres à les mettre en place, formons-nous en bioéthique et soutenons des centres d’accueil pour futures mères.

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Dans moins de 3 mois…

N’attendons pas plus longtemps pour en parler à notre curé ! C’est dès la rentrée que les événements de votre paroisse se décident et s’inscrivent dans l’agenda de votre communauté chrétienne… Ainsi, c’est le moment de prendre la bonne résolution de fêter les 10 ans du mouvement des Veillées pour la Vie en organisant une veillée dans votre paroisse.

Pour cela :

  1. Parlez-en à votre curé, et proposez-lui votre aide,
  2. Inscrivez ensemble la date du samedi 28 novembre 2020 (ou une date proche qui convient) dans l’agenda paroissial,
  3. Téléchargez le kit d’organisation prêt à l’emploi sur notre site, qui s’enrichit d’année en année,
  4. Réunissez quelques paroissiens pour organiser la veillée, répartir l’animation, la communication, etc.
  5. Participez à notre concours d’affiche annuel en nous envoyant votre affiche personnalisée,
  6. Imprimez les affiches pré-faites du kit, votre trame, vos méditations, vos chants…
  7. Inscrivez-vous largement à notre neuvaine de formation, véritable cocktail spi et bioéthique : 9 jours pour 9 mois; elle a lieu chaque année les neuf jours qui précèdent l’entrée en avent…

Avec cela, vous voilà apôtre de l’évangile de la Vie dans votre paroisse !

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La vie est…

La vie est beauté, admire-la.
La vie est félicité, profites-en.
La vie est un rêve, réalise-le.
La vie est un défi, relève-le.
La vie et un devoir, fais-le.
La vie est un jeu, joue-le.
La vie est précieuse, soigne-la bien.

La vie est richesse, conserve-la.
La vie est amour, jouis-en.
La vie est un mystère, pénètre-le.
La vie est une promesse, tiens-la.
La vie est tristesse, dépasse-la.
La vie est un hymne, chante-le.
La vie est un combat, accepte-le.
La vie est une tragédie, lutte avec elle.
La vie est une aventure, ose-la.
La vie est bonheur, mérite-le.
La vie est la vie, défends-la.

Ste Mère Teresa (1910-1997)

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